Camping de Lyon

Jean-Marie Vianney, curé d'Ars pendant plus de 40 ans, est né à Dardilly en 1786 et décédé à Ars-sur-Formans en 1859 ; www.village-natal-saint-cure-ars-dardilly.fr/

La commune de Dardilly possède deux églises : l'église du bourg Saint-Jean-Marie-Vianney, à Dardilly-le-Bas, et celle du Barriot à Dardilly-le-Haut. Elles datent des années 1860 et sont le fruit d'une rivalité latente entre le quartier du bourg et le quartier du haut, peuplé d'une dizaine de propriétaires fortunés.
Au cours du XIXe siècle, l'église Sainte-Pancrace, située dans le bourg, devint trop petite. Deux projets s'affrontèrent : une reconstruction au même emplacement ou une construction dans le quartier du Barriot, projet porté par la volonté et les fonds des habitants du quartier qui considéraient le bourg trop éloigné.
En définitive, deux églises furent érigées et Dardilly scindée en deux paroisses distinctes.

Le sentier botanique du vallon de Rochecardon a été aménagé par le syndicat mixte des Plaines Monts d’Or avec la participation de l’association Roch’Nature et des enfants de l’école de la Gare d’Eau de Vaise. Situé sur un itinéraire pédestre qui relie Lyon Vaise aux Monts d’Or, il permet au promeneur de découvrir la faune, la flore et le ruisseau de Rochecardon. Dans ce vallon abrité et irrigué, la fraîcheur des sous-bois invite à parcourir des paysages constitués d’érables, frênes, saules, noise-tiers... Des panneaux développés par les enfants présentent des informations sur la faune et la flore environnantes. La préservation de ce vallon est un bel exemple de maîtrise du développement urbain.

La commune de Dardilly possède deux églises : l'église du bourg Saint-Jean-Marie-Vianney, à Dardilly-le-Bas, et celle du Barriot à Dardilly-le-Haut. Elles datent des années 1860 et sont le fruit d'une rivalité latente entre le quartier du bourg et le quartier du haut, peuplé d'une dizaine de propriétaires fortunés.
Au cours du XIXe siècle, l'église Sainte-Pancrace, située dans le bourg, devint trop petite. Deux projets s'affrontèrent : une reconstruction au même emplacement ou une construction dans le quartier du Barriot, projet porté par la volonté et les fonds des habitants du quartier qui considéraient le bourg trop éloigné.
En définitive, deux églises furent érigées et Dardilly scindée en deux paroisses distinctes.

Le fort du Paillet fait partie des forts de la 2ème ceinture de Lyon; il couvrait le secteur allant de La Tour-de-Salvagny à Limonest.

Comme les autres forts de la couronne de Lyon, il n’a jamais servi comme système de défense. Durant la première Guerre mondiale, il sert de dépôt de matériel et de casernement. Lors de la Seconde Guerre mondiale, il est utilisé comme prison par l’armée allemande, et il conserve cette fonction à la Libération pour les collaborateurs français.

Aujourd’hui, il est occupé par des associations de la commune, dont un club tir à l’arc dans les douves. L’association du Fort du Paillet s’occupe de son entretien et de sa mise en valeur. On peut le visiter en contactant cette dernière.

Eglise Néo-romane à 3 nefs de 5 travées. Construite en 1845, rénovée en 1966 et en 2003, elle est bâtie de pierres des Monts d'Or.

Le vallon de Serres offre, à quelques kilomètres de Lyon, une richesse naturelle insoupçonnée. Il comprend un patrimoine vernaculaire remarquable lié à l’eau : lavoirs, fontaines, ponts et moulins. Ils ont permis par le passé l’exploitation de la force hydraulique. Également, des étangs artificiels servaient à l’irrigation des vergers et des pépinières de Dardilly. Plusieurs ruisseaux courent au fond des vallons : ruisseaux de Serres, des Planches, de Traîne- Cul, des Mouchettes, de la Beffe, de la Grande-Rivière. Les bois alentours abritent une centaine d’espèces d’oiseaux nicheurs ou migrateurs, des chauves-souris, plusieurs espèces de batraciens, reptiles et mammifères.

Le majestueux château du parc de Lacroix-Laval a longtemps abrité un musée de la poupée, et est ainsi connu des lyonnais comme le « château de la poupée ».

Inoccupé depuis 2007, il change de destination en 2022, et devient un centre de formation pour les apprentis de la gastronomie. Le projet est piloté par le chef lyonnais Christian Têtedoie.

Un potager et la roseraie « historiques » sont situés à proximité du château ; tous deux ont vocation à préserver le patrimoine culturel et génétique local. Ainsi, le potager, clos de murs, comprend environ 300 variétés de légumes, fleurs et fruits lyonnais anciens. Et la roseraie contient une centaine d’espèces de roses lyonnaises.