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Camping Le Val d'Amour

39380 OUNANS

Note moyenne des 159 avis clients : 9/10

20 résultats
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PLAN IGN

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PHOTOS AERIENNES / IGN

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CARTES MULTI-ECHELLES / IGN

CARTES MULTI-ECHELLES / IGN

TOP 25 IGN

TOP 25 IGN

CARTE DES PENTES (PLAN IGN)

CARTE DES PENTES (PLAN IGN)

PARCELLES CADASTRALES

PARCELLES CADASTRALES

CARTES AÉRONAUTIQUES OACI

CARTES AÉRONAUTIQUES OACI

CARTE 1950 / IGN

CARTE 1950 / IGN

CARTE DE L'ETAT-MAJOR (1820-1866)

CARTE DE L'ETAT-MAJOR (1820-1866)

CARTES LITTORALES / SHOM/IGN

CARTES LITTORALES / SHOM/IGN

SCAN EXPRESS STANDARD / IGN

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SCAN EXPRESS CLASSIQUE / IGN

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OPEN STREET MAP

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GOOGLE MAP - SATELLITE

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GOOGLE MAP - PLAN

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GOOGLE MAP - HYBRIDE

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IGN BELGIQUE

IGN BELGIQUE
Image du circuit

Patrimoine et traditions

Ce sentier vous emmènera sur des lieux riches d’histoire mêlant les traditions d’hier et un patrimoine architectural séculaire. En Val d’Amour, la tradition locale du flottage de radeaux se perpétue et vous pourrez voir sur le Loue une portière à radeaux unique dans l’Est de la France, restaurée par la Confrérie Saint Nicolas des Radeliers de la Loue. A Arc-et-Senans, village du Doubs enclave dans le Jura, les majestueux bâtiments de la Saline Royale allient une architecture sans pareil à une fonction industrielle de production du sel. Un patrimoine à la frontière entre deux territoires et deux ères à découvrir en toute simplicité.



Eglise de Chissey-sur-LoueLa corniche de l’église est ornée de 64 sculptures de visages grotesques et grimaçants, représentant les aliénés mentaux qui, lors de la messe, étaient enfermés dans la salle du premier étage du clocher. Saint-Christophe, le patron de l’église, passait autrefois les guérir. Surnommés les « Babouins » par les habitants des villages voisins, ce sobriquet devint le nom des habitants de la commune à partir du XIXème siècle.Saline RoyaleDestinée à la production de sel, la Saline Royale fut réalisée entre 1775 et 1779 par Claude-Nicolas Ledoux. Elle suivait les plans de l’architecte pour une cité idéale – la ville de Chaux – et les onze bâtiments construits en arc de cercle répondent à une organisation de vie en société au sein même de la Saline. Elle fonctionnait comme une usine intégrée dans laquelle étaient abrités les lieux de production du sel ainsi que les lieux d’habitations des berniers (ouvriers du sel) et de leur famille. La Saline fait partie du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1982. Exceptionnel exemple de l’architecture industrielle du siècle des Lumières, elle accueille plus de 100 000 visiteurs chaque année.Portière à radeauxTradition ancestrale, le flottage des longs bois, assemblés par les radeliers en radeaux qui peuvent atteindre 35m de long et 8m de large, servait à convoyer sur les voies navigables pour la construction navale, le bois d’œuvre ou encore le bois de chauffage. Au XIXème siècle, des radeaux sont assemblés au Port aux Bois de Cramans. Le franchissement du barrage du Moulin Toussaint est facilité par la portière à radeau construite en 1856 et restaurée en 2011.



Départ de CHISSEY-SUR-LOUE, EGLISE. Ancien bourg médiéval, Chissey a conservé son église dont les origines remontent au XIIe siècle. Suivre la direction « Champ Voiron ».

Au champ voiron, suivre la direction « Vers Saline Royale ».

A la Grosse gravière, suivre la direction « Arc et Senans / Au grand rivage ».

Au grand rivage, suivre la direction « Arc et Senans par la Loue ». Vous traversez un ancien méandre de la Loue.

A la gravière, suivre la direction « Arc et senans ». Vous longez les berges de la rivière. Après 500m découvrez un ouvrage aménagé pour alimenter régulièrement une morte en eau et ainsi améliorer sa qualité biologique.

En face du Moulin Toussaint, quitter les berges de la Loue pour emprunter un chemin sur la gauche. Rejoindre la D17 au village d’Arc-et Senans et la suivre sur votre droite.

Suivre la direction « Cramans / Saline royale ».

Dans le village sur la gauche, se trouve une chapelle du Sacré-Cœur construite en 1913. Continuer la rue principale et traverser le passage à niveau, rejoindre la Saline Royale d’Arc-et-Senans.

Vous êtes devant la Saline Royale d’Arc-et-Senans. Construite sous Louis XVI, elle servait à la production du sel. Son architecture exceptionnelle en fait un lieu renommé. Emprunter la rue en face de la Saline jusqu’au bout de la ligne droite. Suivre la direction « Cramans ».

Vous êtes à « Les Emprunts ». Prendre la direction « Les nues ». Tourner à droite après le pont SNCF pour entrer dans le lotissement.

Prendre la direction « PORTIERE A RADEAUX ». Passage à proximité de la station d’épuration de Cramans.

La tradition du flottage de radeaux existe dans le Val d’Amour depuis la fin du XVIIe siècle. La portière à radeaux permettait aux radeaux de franchir le barrage sur la rivière. Suivre la direction « Puits de captage ».

Suivre la direction « Morte aux nivéoles ».

 Suivre la direction « Pont de Chissey ». Après avoir rejoint la Loue, suivre le sentier le long de la berge puis en forêt.

Suivre la direction « Champ Voiron » en traversant le pont en direction du village. De retour au point 2, suivre la direction « CHISSEY-SUR-LOUE – EGLISE » pour rejoindre le point de départ.

17 km
4h 30m
Très facile
47.02142, 5.7202112
- Comité Départemental du Tourisme du Jura -
- Comité Départemental du Tourisme du Jura -
Image du circuit

Zone humide de Chissey-sur-Loue

Partez à la découverte de la zone humide de Chissey-sur-Loue et de ses richesses. Composée de milieux naturels variés, vous pourrez notamment observer le Martin pêcheur d’Europe (Alcedo atthis), le Pic épeiche (Dendrocopos major), la Rousserole effarvatte (Acrocephalus scirpaceus), des libellules comme le Caloptéryx splendide (Calopteryx splendens) ou l’Aeschne paisible (Boyeria irene), des amphibiens comme les Grenouilles rousses (Rana temporaria) ou les Grenouilles vertes (Pelophylax sp.) et bien d’autres curiosités.



Les zones humides sont des milieux naturels variés habituellement inondés ou gorgés d'eau de façon permanente ou temporaire. Elles sont caractérisées par une végétation spécifique et/ou par des traces dans le sol.Elles jouent des rôles importants pour la biodiversité mais aussi pour la gestion de l’eau. En effet, elles sont :



Des éponges naturelles elles stockent et restituent l’eau progressivement elles participent donc à lutter contre les inondations et la sécheresse ;

Des épurateurs naturels de l’eau : elles emmagasinent et transforment certaines particules permettant d’améliorer la qualité de l’eau ;

Des refuges elles abritent une faune et une flore spécifiques et sont richesse en biodiversité.



Mais elles sont menacées : dans la basse vallée de la Loue environ les ¾ de la surface des zones humides a disparu entre 1820 et 2017. Les principales causes : les travaux de redressements des cours d’eau et en particulier de la Loue, l’installation de drainage, le comblement des anciens bras morts et ses dernières années vient s’ajouter le réchauffement climatique.La zone humide de Chissey-sur-Loue fait l’objet d’un plan de restauration et de gestion. Les principales actions de restauration ont consisté à :



Débroussailler des prairies humides, des mégaphorbiaies et des roselières ;

Remettre partiellement en eau un ancien bras pour améliorer le fonctionnement hydraulique ;

Lutter contre les Erables negundo par écorçage ;

Lutter contre la Renouée du Japon et le Topinambour par fauchage régulier.



Des opérations d’entretiens et de suivis sont toujours en cours principalement au travers de fauches tardives et de surveillance des milieux naturels et des espèces.En chemin…Pour pourrez observer le Martin pêcheur d’Europe (Alcedo atthis), le Pic épeiche (Dendrocopos major), la Rousserole effarvatte (Acrocephalus scirpaceus), des libellules comme le Caloptéryx splendide (Calopteryx splendens) ou l’Aeschne paisible (Boyeria irene), des amphibiens comme les Grenouilles rousses (Rana temporaria) ou les Grenouilles vertes (Pelophylax sp.) et bien d’autres curiosités.



Poteau « zone humide », suivre la direction Arc-et-Senans / sentier pédagogique

Vous êtes à l’entrée du site. Le sentier pédagogique est traversé par d’anciens bras de la Loue, en cas de crue, le site se retrouve inaccessible.

Table d’information sur la Loue et ses poissons

Tables d'information sur les libellules

Table d'information sur les oiseaux

Table d'information sur les mammifères

Des travaux de restauration ont permis d’améliorer le fonctionnement hydrologique d’une partie du site en créant une encoche dans une diguette. Poteau de l’Ile Nord, suivre la direction « La gravière ». Pour la petite boucle suivre « La Grosse Gravière » (rejoint directement le point 11)

Table d’information « milieux naturels et évolution »

Poteau « La Gravière », suivre la direction « Au Grand rivage »

Poteau « Au Grand rivage », suivre la direction Chissey-sur-Loue / La Grosse Gravière

Poteau « La Grosse Gravière », suivre la direction Chissey-sur-Loue / Champ voiron

Poteau le « Champ voiron », suivre la direction « Port aux bois de Chamblay »

5 km
1h 30m
Très facile
47.0164321, 5.727713
- Comité Départemental du Tourisme du Jura -
- Comité Départemental du Tourisme du Jura -
Image du circuit

Les Amoureux du Val d'Amour

Partez à la découverte de la basse vallée de la Loue avec ses mortes (anciens bras de rivière), ses paysages et son patrimoine historique et bâti, dont notamment le château de Clairvans.





Au panneau « Chamblay » Devant l’école, traverser la rue principale, aller à droite sur 50 m et prendre la route à gauche, passer tout droit « Grand Creux »

Au panneau « Sur la levée », partir à droite vers « Port au Bois » (lieu de stockage puis d’expédition du bois par flottage jusqu’au début du XXe siècle). Continuer par le chemin. Il longe la Loue sur 2 km.

Au panneau « Pont de Chissey », suivre la D93 à droite sur 80m, puis le chemin à gauche. Il se rapproche de la rivière, puis vire à droite et mène à « Morte aux Nivéoles ».

Continuer vers « La Larine » puis longer à droite le ruisseau. Suivre la D93 à gauche, la D93E à droite te traverser Écleux.

Au poteau « Rue du Lion », prendre la route à droite et gagner « Le Sausset ». Tourner à gauche, traverser la D472 et la longer à droite sur 100m. Après le pont (ligne de démarcation durant la dernière guerre), suivre la route à gauche et rester à droite. Au poteau « La Petite Biche », emprunter le chemin à droite. Il passe en lisière du bois et débouche sur la D53 (« Au pied de l’Enclos) > Variante courte (13,5 km, 4h, niveau moyen) : Suivre la D53 à droite, passer le carrefour « Pont de Saron » et arriver à « La Digue »

Suivre la D53 à gauche sur 200m et la rue à droite. Au poteau « Les grands » tourner à droite, rester à gauche et prendre la route à gauche. Après le pont, partir à droite et continuer sur le chemin qui passe au pied du château de Clairvans (Bâti en 1820 sur l’emplacement d’une ancienne construction médiévale) puis serpente. Au poteau « Les Balènes », virer à droite. Emprunter la D472 à gauche.

Passer « Ounans » et prendre la D71 à droite. Passer « Rue de l’Eglise ».

Au poteau « L’Essart Monnot », prendre la route à droite et le deuxième chemin à gauche. Au poteau « Gravière Renard », tourner à droite et gagner la Loue. La longer à gauche, passer « La Dandanne » et franchir à droite le pont de la D53.

Au poteau « La Digue », suivre la route à gauche et retourner « Sur la Levée ». Regagner « Chamblay ».





TRADITIONS

La légende du val d'amour

« C’est une tradition qu’un lac couvrait autrefois de ses eaux le Val d’Amour. Au château de Clairvans vivait Rainfroy, un homme qui joignait la déplaisance et la fierté. Sa fille Euriette, belle à ravir, aimait Loys, un gent menestrel de Montbarrey, mais Rainfroy qui ne voulait pas de cette union emprisonna Euriette. Loys creusa un chêne et la nuit il traversait le lac sur cette pirogue guidée par la nourrice d’Euriette et allait baiser les mains de sa mie au travers des barreaux de la tour. La nourrice avaricieuse souffla une nuit son cierge et Loys se noya tristement. Rainfroy mourut peu après et Euriette, libre, fit percer la digue à Parcey qui retenait les eaux du lac pour retrouver le corps de son amant. » Extrait d’Un beau pays du Val d'Amour de Louis Joseph Horiot

22 km
5h 30m
Facile
46.997596, 5.709266
- Comité Départemental du Tourisme du Jura -
- Comité Départemental du Tourisme du Jura -
Image du circuit

L'homme et la Loue

Nous vous invitons à découvrir la rivière Loue, le long d’un sentier au départ de Chamblay. Le paysage conserve en mémoire les traces des divagations de la Loue. Il révèle également comment l’homme a exploité les ressources de la rivière et lutté contre les crues. Ce parcours agrémenté de 7 tables de lecture lève le voile sur ces relations, parfois conflictuelles et souvent complexes qui unissent les habitants à la Loue et présente les espèces d’oiseaux caractéristiques des milieux rencontrés.



La morte des fontaines :Les redressements de la Loue, pour réduire les inondations à partir des années 60, ont déconnecté une grande partie de ses anciens lits, qui ont fait la réputation de la Loue auprès des pêcheurs. Les anciens racontent qu’on y trouvait des poissons en abondance : truites, ombres, brochets… étaient pêchés selon les besoins. Il n’y avait que l’embarras du choix. Aujourd’hui devenus des mortes comme la Morte des fontaines, ils ne sont alimentés en eau que lors des crues, mais conservent un potentiel important comme lieux de reproduction et de refuge pour les poissons.Dans le cadre du Contrat de rivière Loue, la Communauté de communes du Val d’Amour a reconnecté la Morte des fontaines à la Loue en 2007. Son chenal a été creusé de près de 2 m à l’amont pour assurer une alimentation en eau toute l’année.Le flottage des bois : Jusqu’au début du XXème siècle, le flottage des bois était une activité très importante sur la Loue, notamment à Chamblay avec son Port aux Bois. Les radeaux assemblés sur les prairies étaient convoyés lors des crues jusqu’au Port aux Bois de Montbarrey où ils étaient chargés de chênes « courbants » de la Forêt de Chaux pour construire la coque des bateaux de la Marine royale. De là, ils partaient pour la vallée du Rhône et les chantiers navals.L’ancien seuil du Port aux Bois a été en partie restauré récemment. Il mesurait à l’origine 95 m de long et se poursuivait sous la figue. Les pierres sont maintenues par des poutres de chêne pour éviter leur arrachement lors des crues.



Suivre la direction « Grand creux » sur votre gauche.

Suivre la direction « Sur la levée » sur votre droite.

Suivre la direction « PORT-AU-BOIS CHAMBLAY » à droite. En 1953, la digue n’a pas résisté à la crue de la Loue, le bas du village de Chamblay fut inondé.

Table de lecture : ici, coulait une rivière. Au pied de la digue, un bras de Loue recouvrait ce qui est aujourd’hui une prairie. Lorsque les eaux montaient, elles emportaient les radeaux et en se retirant, déposaient les alluvions fertilisant la plaine. Découvrez les vestiges de cet ancien seuil aménagé pour faciliter la mise à l’eau des radeaux à 50m devant vous dans le pré.Revenir à « Sur la levée » puis suivre la direction « La digue » sur votre droite.

Au pied du pont suivre la direction « Morte des Fontaines » à gauche. Table de lecture : une rivière entièrement domestiquée. La Loue essaie toujours de modeler son lit en érodant ses berges et en déposant des graviers. Par exemple, la zone boisée dans la Loue sur votre gauche est régulièrement érodée par les crues alors qu’un banc de galets s’agrandit en face de vous.    En chemin, vous passerez sur l’ouvrage d’alimentation de la Morte des Fontaines.

Prendre le chemin qui longe la morte sur votre gauche. Vous reviendrez à cet endroit après avoir parcouru la boucle de la morte. En chemin des tables vous présentent les oiseaux qui vivent dans ces différents milieux que constituent les pâtures, le bras mort et la saulaie, ainsi que les libellules et demoiselles qui affectionnent les eaux calmes.Remarquez en chemin les gros galets sur le sentier. Arrivés à la porte du pré, longer la clôture sur la gauche, et cheminer sur la butte. Surprise, vous êtes arrivés au pied du village de Chamblay et vous avez emprunté le lit (les galets) puis la berge (la butte) que la Loue occupait jusque dans les années 50. Elle était là, au pied des maisons. Imaginez la crainte des habitants quand elle était en crue. Vous passez les deux chicanes et l’abreuvoir. La morte est rejointe par le ruisseau du Saron. Au bout de la clôture, bifurquer à gauche pour se rapprocher de la morte, suivre le sentier qui la longe et serpente entre la morte et l’ancienne berge.

Vous arrivez à la confluence de la morte avec la Loue. La table de lecture intitulée « Retrouvons une Loue vivante » place tous les espoirs dans le contrat de rivière Loue aujourd’hui terminée. Il a permis d’initier une politique de reconnexion des anciens bras de la rivière qui sera sans nul doute bénéfique au milieu naturel.Suivre la Loue sur votre droite.

Suivre la Loue tout droit direction « Sur la digue ».

Continuer tout droit direction « Pont du Saron ».

Suivre à gauche « Grand creux ». De retour au point n°2, prendre la direction « CHAMBLAY » pour revenir au point de départ.

4.4 km
1h
Très facile
46.997596, 5.709266
- Comité Départemental du Tourisme du Jura -
- Comité Départemental du Tourisme du Jura -
Image du circuit

Corne à la Poulette - 101B

Sur ce parcours VTT plutot facile et sans dénivelé, partez à la découverte des bords de la rivière de la Loue et de sa plaine alluviale à la faune et la flore remarquable.



Le circuit emprunte les bords de la Loue entre Ounans et Souvans.De part et d’autre, la plaine du Val d’Amour offre une mosaïque de productions agricoles très diversifiée allant des prairies pour l’élevage, aux légumes (oignons, petits pois, haricots) en passant par les céréales, les oléo-protéagineuses (colza, tournesol, soja, lin, pois) et la production de semences. La nappe alluviale sous-jacente et la nature du terrain sont à l’origine de cette diversité.

22 km
2h
Très facile
47.0037688, 5.6666086
- Comité Départemental du Tourisme du Jura -
- Comité Départemental du Tourisme du Jura -
Image du circuit

Savoirs faire d'Antan

Ce sentier ravira les randonneurs amateurs d’histoire locale et d’outils anciens, entre plaisantes anecdotes et savoir-faire à découvrir ou redécouvrir le long de cette grande boucle au charme campagnard de jadis.



Four de tuilierDaté du IIIe siècle, le four de tuilier pouvait à cette époque cuire 10 000 tuiles en une tournée. Classé à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques, c’est l’un des mieux conservés et des plus grands qui restent en France.La Ligne de DémarcationLors de la seconde guerre mondiale, la Ferme de la Biche était un endroit stratégique pour le passage de la zone libre. On raconte que le fermier Georges Roy détournait l’attention des soldats allemands en leur servant à boire de l’eau de vie, pendant que ses deux filles faisaient passer la ligne aux clandestins.Le Château d’eauUtilisé pour stocker l’eau potable, il fait son apparition dès l’Antiquité. Longtemps remplacé par les porteurs d’eau en Europe, il est construit massivement en France au XIXe siècle afin de répondre à l’essor des chemins de fer à vapeur, grands consommateurs d’eau.Jean-Baptiste JupilleJean-Baptiste Jupille (1868-1823) fut le deuxième patient vacciné contre la rage par Louis Pasteur en 1885. Originaire de Port-Lesney, le jeune berger gardait les moutons en compagnie de ses camarades à Villers-Farlay quand ils furent attaqués par un chien enragé. Il défendit ses camarades et fut mordu par l’animal au cours de la lutte. Le maire du village, au courant des travaux de Louis Pasteur, lui demanda d’essayer son vaccin sur lui. Les habitants du village collectèrent l’argent nécessaire pour envoyer le garçon à Paris, où Pasteur l’hébergea et le soigna. Jupille retournera à l’Institut Pasteur en 1888 pour y travailler jusqu’à sa retraite. L’acte de bravoure de Jupille lui valut le prix Monthyon, destiné à « récompenser un Français pauvre qui se sera fait remarquer par une action héroïque ». Il a également sa statue à l’Institut Pasteur, laquelle figura sur un billet de cinq francs en circulation de 1966 à 1972.



Départ de VILLERS-FARLAY, devant la Mairie. Sur le pignon côté place, une fresque réalisée en 1995 représente la vaccination de Jean-Baptiste Jupille par Pasteur. Suivre la direction « Etang de Villers-Farlay ».

Vous êtes à l’Etang de Villers-Farlay. Vous pouvez y voir une fontaine-abreuvoir. Située sur le chemin de retour des paysans qui rentraient des prés avec leurs bêtes, son existence est antérieure à 1850. Suivre la direction « Levée de César ».

S’engager dans la rue de la Chênée et pénétrer dans le Bois de la Pommeraie. Vous empruntez alors une partie de la voie romaine qui reliait autrefois Besançon à Lyon.

Suivre la direction « voie Communale».

Suivre la direction « FOUR DU TUILIER».

Vous trouverez l’emplacement d’un ancien four de tuilier gallo-romain. Des panneaux explicatifs sur le site retracent son histoire et sa fonction. Reprendre le sentier direction « Bois de la Pommeraie ».

Poursuivre en direction de « Bois des Perrières».

Suivre la direction « VILLENEUVE D’AVAL ». Après avoir traversé le Froideau, entrer dans Villeneuve d’Aval en passant devant l’ancien château dont il subsiste une tour carrée dans une ferme.  Sur votre droite fans la rue des Fontaines, en contrebas de l’église, vous pouvez voir une fontaine avec abreuvoir et lavoir qui fut construite en 1843. Revenir sur ses pas et monter dans le village en suivant la Grande Rue.

Sur la place devant l’église, se trouve une large plaque de métal : un poids public. Utilisé pour déterminer le poids d’un véhicule ou d’un lourd objet, il pouvait être utilisé moyennant rétribution de l’entrepreneur du poids public. Les poids publics furent surtout utilisés au XXème siècle, puis tombèrent en désuétude. Ce système est cependant encore utilisé dans le domaine du commerce et du transport de marchandises. Traverser me village en direction de « Travail à ferrer ».

Sur la gauche du chemin, vous pouvez observer un ancien travail à ferrer les bœufs, conçu pour immobiliser les bêtes et faciliter le ferrage.Poursuivre dans la direction de « La Taillée». A l’entrée du bois, prendre un chemin à droite jusqu’au cours d’eau le Saron que l’on traverse par un ponton.

Prendre la direction « Grande Biche » : vous suivez le tracé de la ligne de démarcation.

Suivre la direction « Bois de Baud ». Non loin du sentier se trouve la ferme de la Biche. Entrer dans le bois, contourner la partie déboisée et traverser les ruisseaux du Saron et de Froideau.

Suivre la direction « ECLEUX ». Peu avant la sortie du bois, sur votre droite, vous découvrirez un château d’eau datant des années 1960. Poursuivre sur le chemin pour rejoindre le village.

Dans Ecleux, suivre la direction « Rue du Lion ».

A l’angle de la rue principale et de la rue du Lion, vous voyez le poids public d’Ecleux, un petit bâtiment refait à neuf avec des volets bleus, et la plaque de métal au sol en bord de rue. Traversée du village en direction de « La Larine ». A la sortie d’Ecleux, longer la Larine à droite sur 1.5km.

Suivre la direction « VILLERS FARLAY».

16 km
4h
Très facile
46.9990243, 5.7510947
- Comité Départemental du Tourisme du Jura -
- Comité Départemental du Tourisme du Jura -